Ses œuvres sont créées par l’Ensemble Inter- contemporain, Ars Nova, le Domaine Musical, les orchestres de Radio France et les orchestres nationaux. œuvres sont créées par l’Ensemble Inter- contemporain, Ars Nova, le Domaine Musical, les orchestres de Radio France et les orchestres nationaux.es œuvres sont créées par l’Ensemble Inter- contemporain, Ars Nova, le Domaine Musical, les orchestres de Radio France et les orchestres nationaux.
Son catalogue comprend vingt oeuvres pour orchestre dont deux avec chœurs et trois avec solistes, quatorze pour ensembles, dix oeuvres de musique de chambre, douze pour instrument seul, une pour chœur a cappella, un opéra , deux « théâtre musical » et deux ballets .

Il compose plus de vingt partitions pour le cinéma et la télévision, une trentaine pour le théâtre radiophonique, il improvise avec des « noms » du jazz en France, dirige des ensembles de musique contemporaine, ainsi que le répertoire avec différentes phalanges orchestrales.

« Parallèlement à mes études d’écriture classique, je me suis « engagé » avec vigueur et enthousiasme dès 1961/62 dans l’avant-garde sérielle, dont les pères étaient P. Boulez, L. Bério, K. Stockhausen…
Autodidacte mais conseillé par mes « grands frères » (J.C. Eloy et G. Amy), mes premières œuvres, Sonate n°1 pour piano (1962) jusqu’à Dissensions-Insertions (1972) sont rigoureusement sérielles. C’est en 1967 avec Relations crée eaux Nuits de la Fondation Maeght que débute réellement ma carrière professionnelle de compositeur.
Dès les années 70, mon écriture se développe vers différentes techniques : atonal libre, modale, polytonalité, réintroduction d’une certaine métrique, etc.… avec le soucis permanent de valoriser l’orchestre, les musiciens, modeler la matière orchestrale à la façon du sculpteur. Avec l’introduction de traces de musiques populaires, musique Klezmer (Concerto pour violon), tango (Suite pour bandonéon et orchestre), samba (Paroles vives), … je poursuis mon travail dans ces multiples directions avec toujours le souci de transmettre l’émotion. »