En 1958, il y fera jouer sa première œuvre par l’Ensemble du Domaine Musical sous la direction de Bruno Maderna, une Suite concertante pour piano et quatorze instruments.
En 1960, la rencontre avec le cinéaste Claude Chabrol sera déterminante : elle amorcera une longue période consacrée à la musique de film. Il signera pour le cinéma et la télévision une centaine de partitions. Il enseignera ensuite l’orchestration à l’Ecole Normale de Musique, puis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris.
Abandonnant alors la musique de film, il se consacre exclusivement à son œuvre. Son catalogue comprend, outre les œuvres pour piano, deux quatuors à cordes, de la musique d’orgue, un quintette pour clarinette, cor, violon, violoncelle et piano, un concerto pour orchestre d’harmonie, de la musique symphonique parmi laquelle mentionnons : Eloge de la Consonance, commande de l’Orchestre National d’Ile-de-France, créé par cet orchestre sous la direction de Jacques Mercier, et repris, en 1995, dans le cadre des Concerts du Bicentenaire du Conservatoire de Paris, par l’Orchestre du CNSM, sous la direction de Pascal Rophé et une Symphonie, commande de Musique Nouvelle en Liberté, créée en 1996 par l’Orchestre Philharmonique de Montpellier Languedoc Roussillon sous la direction de Friedemann Layer. |